Une réflexion sur l’identité bretonne comme résistance face à l’ethnocide d’État. De l’héritage d’Anjela Duval aux luttes contemporaines, ce discours dessine les contours d’une vraie démocratie, inspirée de celles des peuples autochtones, pour défendre les minorités et les générations futures.
Discours de réception du collier de l’Hermine Lire l’article »
L’article analyse la construction mouvante de l’identité en Bretagne, envisagée comme récit plutôt que réalité. Inscrite dans une situation minoritaire, elle s’élabore dans le rapport à l’Autre, entre sélection d’éléments culturels, représentations de l’altérité et modalités d’intégration des personnes venues d’ailleurs.
Construction de l’identité en Bretagne aujourd’hui Lire l’article »
En Bretagne, l’identité n’est ni figée ni exclusive : elle se construit dans le lien aux autres, au territoire, à une culture partagée. Loin du repli sur soi, la société bretonne se distingue par son ouverture, sa culture de solidarité et une conception inclusive de l’appartenance.
La construction identitaire en Bretagne aujourd’hui Lire l’article »
En 2013, les Bonnets rouges descendent dans la rue et c’est l’incompréhension dans les rédactions parisiennes. Entre les Bretons « alcooliques », « arriérés » ou « ennemis de l’État », les stéréotypes volent bas. Mais au fait, d’où viennent vraiment ces clichés tenaces sur la Bretagne ? Décryptage de malentendus.
Le Breton, alcoolique et ennemi de l’État : vérité ou cliché ? Lire l’article »
Coiffes bigoudènes sur t-shirts, blagues sur l’alcoolisme, autocollants « il pleut en Bretagne » : depuis les années 1990, tout un business exploite l’autodérision bretonne à grand renfort de clichés. Mais derrière ce succès commercial se cache une réalité troublante : les Bretons consomment leurs stéréotypes plutôt que de questionner leur identité.
Tout est bon dans le Breton Lire l’article »
Cette analyse examine l’évolution des territoires bretons entre déterritorialisation étatique et reterritorialisation identitaire. L’auteur montre comment l’État français a redéfini les espaces bretons depuis 1941, tandis que les populations développent des attachements territoriaux nouveaux, révélant des logiques contradictoires entre prescriptions institutionnelles et « production de localité » citoyenne dans la modernité tardive.
Espaces bretons entre territorialisation et déterritorialisation Lire l’article »
De la « carte d’identité » à « l’identité à la carte » : comment la Bretagne illustre-t-elle la mutation du rapport territoire-identité ? Entre XIXe siècle uniforme et modernité éclatée, une analyse des transformations profondes qui redéfinissent notre ancrage géographique et nos appartenances multiples.
De la carte d’identité à l’identité à la carte Lire l’article »
Cet article démonte le mythe d’une « Bretagne éternelle ». Si certains traits culturels s’inscrivent dans la longue durée historique, l’identité bretonne est aussi le fruit de récits modernes. Entre héritages anciens et reconstructions récentes, la réalité bretonne échappe autant à la légende romantique qu’à l’idée d’une simple invention contemporaine.
De l’intemporalité du fait régional : le cas breton Lire l’article »
Existe-t-il un « tabou breton » ? Ce texte met au jour l’interdit pesant sur l’identité bretonne, associée à l’impur et à l’indicible. Il révèle comment ce refoulé masque un tabou plus profond : celui d’un État qui sacralise son unité contre toute revendication minoritaire.
Bretagne et tabou Lire l’article »
Qu’est-ce qui fonde l’existence de la Bretagne ? Territoire, culture, histoire, langue : cet ouvrage explore les multiples dimensions de l’identité bretonne. Il interroge sa construction, sa place dans les débats actuels et son potentiel à inspirer des projets collectifs pour l’avenir.
Et la Bretagne ? Héritage, identité, projets Lire l’article »